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"J'avais cinq crédits à la consommation différents. Un pour la voiture, un pour les travaux, un pour les vacances… Chaque mois, c'était un Tetris financier pour rembourser tout le monde. Je vivais avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Je m'endormais avec le stress du découvert. J'ai fait un réméré sur mon appartement. L'argent a servi à solder tous mes crédits en une seule fois. Le plus beau, c'est que j'ai pu rester chez moi. Aujourd'hui, je n'ai plus qu'une seule mensualité à payer, et je vis beaucoup plus sereinement. J'ai retrouvé ma tranquillité d'esprit."
Jean-Philippe S., 51 ans, Provence-Alpes-Côte d'Azur
"La succession de mes parents a été un cauchemar. Mon frère et moi, on n'arrivait pas à se mettre d'accord. Le partage a traîné pendant des mois, et la maison familiale, qu'on devait vendre, commençait à se dégrader. J'avais besoin de ma part pour acheter ma propre maison, mais tout était bloqué. Un notaire nous a conseillé le réméré. Ça a été la solution la plus simple. On a pu obtenir un prêt contre la maison en attente de vente. J'ai pu acheter ma maison et mon frère a pu régler ses propres affaires. La transaction a débloqué la situation sans créer de conflits supplémentaires. C'était la meilleure chose qu'on pouvait faire."
Karine P., 45 ans, Auvergne-Rhône-Alpes
"J'ai toujours voulu me lancer à mon compte. J'avais un plan, une étude de marché, mais il me manquait le capital de départ pour l'achat du matériel. Les banques ne voyaient que mon faible salaire d'avant et refusaient de me suivre. Je commençais à me décourager. Un ami m'a parlé du réméré. Au lieu de m'endetter sur vingt ans, j'ai mobilisé la valeur de ma maison de campagne, que j'avais héritée. En quelques semaines, les fonds étaient sur mon compte. J'ai pu acheter mes machines et lancer mon entreprise. Aujourd'hui, je suis mon propre patron et je n'ai plus de crédit sur le dos. Le réméré a été le tremplin dont j'avais besoin."
Mehdi L., 34 ans, Île-de-France
"Ça a commencé par des retards, puis les lettres recommandées. Après le décès de mon mari, j'ai hérité de ses dettes professionnelles et je n'arrivais plus à suivre le rythme des remboursements. Je me sentais honteuse, j'évitais de répondre au téléphone. La banque menaçait de saisir la maison où j'ai élevé mes enfants. C'est ma fille qui a trouvé SoluciO. Le réméré m'a permis de rembourser toutes les dettes d'un coup. J'ai eu un grand soupir de soulagement. J'ai pu rester chez moi et, petit à petit, j'ai économisé de l'argent. Je suis en train de finaliser le rachat de ma maison. Ce n'était pas facile, mais ça a été ma bouée de sauvetage."
Cécile D., 62 ans, Bretagne
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